Même si les autorités mexicaines affirment avoir révélé sa véritable identité, le doute subsiste sur Marcos. A force de vouloir éviter l'émergence d'un "caudillo", cela a échoué reconnaît l'homme en question. Ce dernier ne veut ni de prise de pouvoir ni de martyrs dans ses rangs, car "pour lutter, il faut être en vie". L'unique ambition est que les Mexicains puissent se voir dans "le miroir". Ces "soldats d'un type nouveau", composés pour un tiers de femmes, forment "une armée dont le but le plus élevé est de disparaître".
Voilà justifié en partie le passe-montagne ou le foulard barrant le visage des insurgés. C'est le troisième enseignement du sous-commandant Marcos.