"Nous sommes le produit d'une hybridation ou d'une confrontation dont nous sommes et, c'est tant mieux, sortis vaincus". C'est le deuxième enseignement du sous-commandant Marcos. Il procède au renoncement de la vision dogmatique marxiste, doublé d'une immersion dans une culture à la mythologie fertile.
La troisième phase (1988-1989) intervient lorsque l'armée zapatiste passe en quelques mois de 80 à 1200 combattants. L'AZLN vit un tournant décisif, celui de la "conspiration clandestine de milliers de gens". Elle enraye au préalable le fléau de l'alcoolisme qui ravage la région...