10.2.09
Témoignage: Henry Solbreux
Il en est des artistes comme des découvreurs. Ils cheminent et avancent perdus dans la foule, mus par le fil de leur destin, vers une lueur invisible aux hommes qui passent, préoccupés par leur quotidien.
Ils s'accrochent à ce fil sans peur et sans concession, pour réaliser le rêve dans lequel ils se meuvent.
La nature est pour lui une inépuisable source d'inspiration. Il veut la cajoler avec tout le respect et toute la délicatesse propre à ceux, très rares, qui amoureusement veulent extirper la quintessence de ce qui est naturellement beau.
Son cheminement est à cet égard particulièrement révélateur.
A l'époque où jeune étudiant aux Beaux-Arts il s'essayait à l'art des esquisses, insatisfait de son oeuvre, il l'avait laissée inachevée dans la cour de son habitation, une forte pluie se mit à tomber.
Le lendemain, avec surprise, il aperçut son tableau oublié la veille tout transformé, tout illuminé dira-t-il, par la pluie qui joyeusement avait contribué, avec insolence, à le parachever.
C'était, dira Jean-Marie Rochez, presque beau.
Le mathématicien 1965
Huile sur toile
Collection privée
Voici ce qu'il écrit:
C'est par hasard que je découvris ce que j'appellerai plus tard (La matière folle) qui devait bouleverser complètement mes conceptions sur la peinture de chevalet restées jusqu'alors assez vagues. J'allais dès ce jour tout remettre en question en essayant de contrôler l'incontrôlable, apprivoiser cette (Matière folle) à des fins picturales mineures en premier lieu et peut-être par la suite, apporter l'objet de mes expériences à l'art monumental comme nous le verrons plus loin avec "PRAVDA" créée quelques 40 ans plus tard.
La matière est un moyen d'expression à part entière au même titre que les rythmes, valeurs, contrastes et couleurs.
Celle-ci peut se créer systématiquement selon les besoins picturaux de l'artiste lorsqu'il s'exprime. Or, si le plasticien peut façonner la matière au gré de ses conceptions créatrices, il ne peut que très rarement dominer celle que la nature invente.
Toulouse Lautrec 1989
(Huile sur toile)
32 X 34 cm.
Jean-Marie Rochez est l'un de ces hommes exeptionnels qui voudraient modeler le monde entier en dominant leurs rêves.
Depuis, avec une ferveur presque mystique, il communiquera aux autres toute la richesse de ce mystérieux langage, de cette connivence entre l'homme et la nature. Nul mieux que lui, ne peut exprimer cette révélation, cette transhumance de l'artiste toujours à la recherche d'une éblouissante pitance au bout de ses pinceaux.
Dès cet instant, Jean-Marie Rochez avait découvert son chemin et peut-être au bout de ce chemin aperçoit-il déjà la lueur d'une belle étoile qui depuis longtemps scintille dans ses rêves ?
Né à la Hestre dans la province du Hainaut en Belgique de parents artisans tailleurs, il rentre à 12 ans aux cours du soir de l'Académie de Binche sous la férule de son professeur Albert Glotz.
Il poursuit ses études aux Beaux-Arts à Mons sous la Direction du prestigieux Gustave Camus. Il collectionne divers prix nationaux et internationaux en Arts graphiques et Arts monumental.
Installé indépendant, il gagne sa vie en peignant pour des Industriels Forains. Il crée pour eux des décors monumentaux qui sont actuellement dispersés partout dans le monde, Angleterre, Australie, Belgique, Canada, Emirats Arabes, Etats-unis, France, Hollande, Pakistan, Allemagne, il révolutionne l'Art Forain à l'échelle mondiale sous le logo J.M.DECOR.
Il poursuit ses études aux Beaux-Arts à Mons sous la Direction du prestigieux Gustave Camus. Il collectionne divers prix nationaux et internationaux en Arts graphiques et Arts monumental.
Installé indépendant, il gagne sa vie en peignant pour des Industriels Forains. Il crée pour eux des décors monumentaux qui sont actuellement dispersés partout dans le monde, Angleterre, Australie, Belgique, Canada, Emirats Arabes, Etats-unis, France, Hollande, Pakistan, Allemagne, il révolutionne l'Art Forain à l'échelle mondiale sous le logo J.M.DECOR.
Enseignant, il dispense son art dans différents établissements.
Ses multiples activités lui prennent la majeure partie de son temps, ne lui permettant plus de suivre autant qu'il l'aurait voulu les travaux de ses confrères, d'où le recul qu'il prend envers les différents courants artistiques qui s'y manifestent.
Cette distance qu'il a été forcé de prendre avec un art qui ne cesse de l'inspirer, il va la combler avec une expression toute personnelle d'où émergera une création nouvelle: cette représentation de la (Matière folle) et subliment ainsi dans une cohérence intransigeante, cette communion de la nature et de l'homme.
Jean-Marie Rochez crée littéralement un art nouveau plein de promesses.
HENRY SOLBREUX
Ses multiples activités lui prennent la majeure partie de son temps, ne lui permettant plus de suivre autant qu'il l'aurait voulu les travaux de ses confrères, d'où le recul qu'il prend envers les différents courants artistiques qui s'y manifestent.
Cette distance qu'il a été forcé de prendre avec un art qui ne cesse de l'inspirer, il va la combler avec une expression toute personnelle d'où émergera une création nouvelle: cette représentation de la (Matière folle) et subliment ainsi dans une cohérence intransigeante, cette communion de la nature et de l'homme.
Jean-Marie Rochez crée littéralement un art nouveau plein de promesses.
HENRY SOLBREUX
Les Trouilles-de-Nouilles
Une série d'oeuvres du peintre sont inspirées du folklore Binchois où réside l'artiste. La soirée et la nuit du lundi qui précède les jours gras, les rues du centre de Binche sont envahies par des masques, des groupes de personnages étranges déambulent méconnaissables sous leurs costumes.
Témoignage: Marie-Christine Richard
Qui pouvait se douter que la pluie, avec ses milliers de gouttes diaprées, offrirait à Jean-Marie Rochez l'occasion de découvrir ce qu'il appellera plus tard la (Matière folle) ? En effet par une belle journée d'automne, Dame Nature, capricieuse, décida d'achever une esquisse qui séchait sur le carrelage de la cour de l'immeuble.
Agressée par une pluie crépitante, la peinture négligemment oubliée s'était métamorphosée. Il en fut stupéfait.
Seules, deux masses noirâtres lui parurent familières. Leur apparence floue aiguisa l'imagination de l'artiste qui crut reconnaître, pour l'une, un vague chapeau et pour l'autre, un masque à la forme fantastique que quelques confettis fragiles égayaient.
Le reste détruit faisait place à un joyeux méli-mélo de petits cratères creusés par la vivacité des gouttes qui s'étaient, avec délice, improvisées artiste l'espace d'une nuit.
Agressée par une pluie crépitante, la peinture négligemment oubliée s'était métamorphosée. Il en fut stupéfait.
Seules, deux masses noirâtres lui parurent familières. Leur apparence floue aiguisa l'imagination de l'artiste qui crut reconnaître, pour l'une, un vague chapeau et pour l'autre, un masque à la forme fantastique que quelques confettis fragiles égayaient.
Le reste détruit faisait place à un joyeux méli-mélo de petits cratères creusés par la vivacité des gouttes qui s'étaient, avec délice, improvisées artiste l'espace d'une nuit.
Les cratères s'éparpillaient avec une gaieté insolite, créant ainsi un mouvement pétillant. Tout cela était offert par la fantaisie capricieuse des inimitiés naturelles. C'était presque beau !
Rochez comprit ce jour-là le fantastique langage délirant de la matière incontrôlée.
Bien que source d'un émerveillement imprévu, le cadeau béni des cieux n'en alla pas moins rejoindre dans la cave les travaux ratés du jeune étudiant des Beaux-Arts.
Ce tableau insolite allait rester dans l'oubli pendant de longues années.
Rochez comprit ce jour-là le fantastique langage délirant de la matière incontrôlée.
Bien que source d'un émerveillement imprévu, le cadeau béni des cieux n'en alla pas moins rejoindre dans la cave les travaux ratés du jeune étudiant des Beaux-Arts.
Ce tableau insolite allait rester dans l'oubli pendant de longues années.
Le hasard voulu qu'il accroche l'oeil d'un artiste qui avait mûri. Il avait eu le temps de tapisser sa mémoire de dessins qui étaient autant de fenêtres ouvertes sur son ciel intérieur.
Fort de sa personnalité affirmée, d'un style particulier, il s'était donné comme devise de faire de la fantaisie une sagesse et, plus sûrement encore, de la sagesse une fantaisie.
Le vieux tableau, comme il l'a appelé par la suite,allait vite se transformer en champ expérimental.
Dès lors, les idées fusèrent; pourquoi ne pas tirer parti de ces taches qui devenaient maintenant providentielles ?
Une imagination fertile et pleine de ressources allaient se charger des transformations.
Fort de sa personnalité affirmée, d'un style particulier, il s'était donné comme devise de faire de la fantaisie une sagesse et, plus sûrement encore, de la sagesse une fantaisie.
Le vieux tableau, comme il l'a appelé par la suite,allait vite se transformer en champ expérimental.
Dès lors, les idées fusèrent; pourquoi ne pas tirer parti de ces taches qui devenaient maintenant providentielles ?
Une imagination fertile et pleine de ressources allaient se charger des transformations.
Armé d'instruments insolites, reléguant les pinceaux pour des travaux plus sages, l'artiste prend la peau d'un explorateur qui met le pied sur une île jusqu''alors inconnue.
Bientôt des tâches contrôlées se mêlèrent aux autres, faisant naître, dans l'esprit du créateur, ce qu'on n'ose pas espérer: "l'idée".
Désireux d'améliorer son art, Jean-Marie Rochez est à l'écoute des critiques. Donnant dans l'originalité, c'est l'homme à l'affût de la création, toujours prêt à comparer ses impressions à celles des autres.
Bientôt des tâches contrôlées se mêlèrent aux autres, faisant naître, dans l'esprit du créateur, ce qu'on n'ose pas espérer: "l'idée".
Désireux d'améliorer son art, Jean-Marie Rochez est à l'écoute des critiques. Donnant dans l'originalité, c'est l'homme à l'affût de la création, toujours prêt à comparer ses impressions à celles des autres.
Les discours vains n'existent pas. Seule l'oeuvre, témoin des longues recherches de l'artiste est digne de provoquer des réactions.
Le peintre a la faculté d'apprivoiser le néant. Animé du désir de créer, il traque dans sa pensée le moindre indice qui lui permettrait de progresser.
Lent le cheminement qui mène à l'esquisse, inconnue est la réalisation finale qui nous révèle le pèlerinage émouvant d'un " poète" au pays de ses fantasmes.
Chaque tableau réalisé permet à l'artiste de poursuivre sa course folle et l'entraîne ainsi, presque à son insu, vers de nouvelles découvertes.
Toute oeuvre achevée contient le départ vers de nouveaux horizons plus riches des progrès réalisés jusqu'alors.
Le peintre a la faculté d'apprivoiser le néant. Animé du désir de créer, il traque dans sa pensée le moindre indice qui lui permettrait de progresser.
Lent le cheminement qui mène à l'esquisse, inconnue est la réalisation finale qui nous révèle le pèlerinage émouvant d'un " poète" au pays de ses fantasmes.
Chaque tableau réalisé permet à l'artiste de poursuivre sa course folle et l'entraîne ainsi, presque à son insu, vers de nouvelles découvertes.
Toute oeuvre achevée contient le départ vers de nouveaux horizons plus riches des progrès réalisés jusqu'alors.
Un exemple en est le "Clown" création subtile par sa matière, très sensible dans sa fragilité, fragilité toute relative qu'on retrouvera dans son "Carnaval des fous".
Jean-Marie Rochez mène sa vie de peintre tel un homme affranchi toujours à la recherche de l'éternelle nouveauté, alliée à une mure réflexion.
Inlassablement, il poursuit le cheminement ininterrompu d'une recherche qui ne se satisfait jamais du recommencement.
Une seule hantise semble l'habiter: la hantise de la perpétuelle création à satisfaire pleinement pour chaque oeuvre.
Le secret d'une peinture renouvelée ?
Un défit qu'il lance en prenant d'assaut l'inaccessible, l'inconnu tout en essayant de le maîtriser à sa manière.
Face à tous il entend exister grâce aux ressources de son imagination. Comme il le dit si bien: la création se fait toujours envers et contre elle, c'est la vie.
Jean-Marie Rochez mène sa vie de peintre tel un homme affranchi toujours à la recherche de l'éternelle nouveauté, alliée à une mure réflexion.
Inlassablement, il poursuit le cheminement ininterrompu d'une recherche qui ne se satisfait jamais du recommencement.
Une seule hantise semble l'habiter: la hantise de la perpétuelle création à satisfaire pleinement pour chaque oeuvre.
Le secret d'une peinture renouvelée ?
Un défit qu'il lance en prenant d'assaut l'inaccessible, l'inconnu tout en essayant de le maîtriser à sa manière.
Face à tous il entend exister grâce aux ressources de son imagination. Comme il le dit si bien: la création se fait toujours envers et contre elle, c'est la vie.
La peinture de Jean-Marie Rochez est le résultat d'une pensée. C'est le fruit des inités naturelles et de sa vision intérieure. Pour lui, la peinture n'est pas un idéal abstrait de la beauté formelle ou la représentation lyrique des apparences visibles.
Elle devient la narration objective de l'idée qu'il se fait d'une chose ou d'un fait.Il n'a plus besoin de s'aventurer dans l'immence champ de la nature à la recherche de sujets et d'impression.
Il porte en lui-même son patrimoine d'expériences émotionnelles. Il s'empreint d'une double recherche: une volonté puissante de style et d'une grande charge émotive.
Aucun intellectualisme, aucun symbolisme n'apparaissent dans son violent monoloque.
L'extériorité perd sa valeur pour faire émerger d'autres aspects plus secrets. Elle fait apparaître ce qui échappe aux yeux des profanes.
Elle devient la narration objective de l'idée qu'il se fait d'une chose ou d'un fait.Il n'a plus besoin de s'aventurer dans l'immence champ de la nature à la recherche de sujets et d'impression.
Il porte en lui-même son patrimoine d'expériences émotionnelles. Il s'empreint d'une double recherche: une volonté puissante de style et d'une grande charge émotive.
Aucun intellectualisme, aucun symbolisme n'apparaissent dans son violent monoloque.
L'extériorité perd sa valeur pour faire émerger d'autres aspects plus secrets. Elle fait apparaître ce qui échappe aux yeux des profanes.
Il construit un ensemble plastique, qui, sans imiter le modèle, adhère étroitement à son émotion et à l'idée qu'il se fait du modèle.
Les formes, les couleurs (peu nombreuses, en réalité un monochrome de bleu de prusse et de noir), les déchirures, les contrastes font de sa recherche le motif profond de sa participation au drame.
Nous découvrons un langage qui s'efforce de donner l'image des choses dans leur contenu cognitif et non plus dans leur apparence visuelle. Sa peinture est faite de formes dramatiques, violentes, condamnées à l'absence de couleurs.
La couleur signifie lumière et relief, son absence évoque irrésistiblement la mort. Ses tableaux sont l'affirmation d'une violence émotionnelle, d'une tension intérieure désespérée.
Les formes, les couleurs (peu nombreuses, en réalité un monochrome de bleu de prusse et de noir), les déchirures, les contrastes font de sa recherche le motif profond de sa participation au drame.
Nous découvrons un langage qui s'efforce de donner l'image des choses dans leur contenu cognitif et non plus dans leur apparence visuelle. Sa peinture est faite de formes dramatiques, violentes, condamnées à l'absence de couleurs.
La couleur signifie lumière et relief, son absence évoque irrésistiblement la mort. Ses tableaux sont l'affirmation d'une violence émotionnelle, d'une tension intérieure désespérée.
Chacune de ses oeuvres devient la page d'un monologue intérieur, une analyse lucide et passionnée de ses états affectifs en face des évènements les plus normaux de la vie quotidienne comme devant les questions fondamentales de la vie de l'homme.
Il n'existe aucune formulation théorique précédant la naissance de ses oeuvres mais ce sont elles qui, à travers des étapes franchies, définissent plus clairement son attitude devant le monde.
La rupture plastique des images naturelles, leur introduction formelle s'articule sur ses toiles de façon unitaire.
Ce sont les éléments caractéristiques de ce nouveau langage.
MARIE-CHRISTINE RICHARD
Il n'existe aucune formulation théorique précédant la naissance de ses oeuvres mais ce sont elles qui, à travers des étapes franchies, définissent plus clairement son attitude devant le monde.
La rupture plastique des images naturelles, leur introduction formelle s'articule sur ses toiles de façon unitaire.
Ce sont les éléments caractéristiques de ce nouveau langage.
MARIE-CHRISTINE RICHARD
Témoignage: Guy Roland
Si vous rencontrez Jean-Marie Rochez, ne vous fiez pas aux apparences: l'homme est tout en paradoxe... Il ne fallut pas longtemps pour m'en convaincre, aussi bien dans son métier de professeur dans lequel il investit un humanisme généreux que dans sa passion picturale aux bouillonnements fertiles.
Une silhouette fluette et furtive, presque timide, un homme modeste et effacé mais qu'on découvre vite farouchement déterminé, inébranlable dans des convictions qu'il assène comme autant de coup de poing sur des supports monumentaux.
Une silhouette fluette et furtive, presque timide, un homme modeste et effacé mais qu'on découvre vite farouchement déterminé, inébranlable dans des convictions qu'il assène comme autant de coup de poing sur des supports monumentaux.
Les oeuvres crient l'angoisse, insultent le mensonge et scandent la justice sociale. Le regard qui s'incruste au noeud de la peinture est inévitable. Halluciné et poignant, il capture l'attention, suscite l'adhésion mais ne laisse aucune chance à l'indifférence.
Insolite et sauvage, l'oeuvre se déroule, se déploie ou éclate sur des panneaux inappropriés, comme improvisés, tels de vieux châssis, d'anciennes portes ou autres volets. Ce décalage permanent participe à la conviction.
Insolite et sauvage, l'oeuvre se déroule, se déploie ou éclate sur des panneaux inappropriés, comme improvisés, tels de vieux châssis, d'anciennes portes ou autres volets. Ce décalage permanent participe à la conviction.
Rochez apparaît comme un visionnaire passionné, empreint d'une étrange fantaisie qui se fige brusquement comme un chien tombe en arrêt, paralysé dans une soudaine immobilité intransigeante et dérangeante.
Fascinante, étonnante mais toujours convaincue, la vérité de Rochez s'inscrit à mi-parcours entre un quotidien secoué et une éternité inquiète.
Profusion d'éléments, prouesses techniques, un style original et une palette délibérément rudimentaire où une monochromie contrastée souligne une aveuglante évidence.
Fascinante, étonnante mais toujours convaincue, la vérité de Rochez s'inscrit à mi-parcours entre un quotidien secoué et une éternité inquiète.
Profusion d'éléments, prouesses techniques, un style original et une palette délibérément rudimentaire où une monochromie contrastée souligne une aveuglante évidence.
Rochez et son oeuvre sont uniques, singuliers, intrépides, audacieux, à l'opposé de l'image d'un petit bonhomme au sourire inquiet souvent attachant.
Toujours son âme riche et généreuse nourrit une oeuvre remarquable qui mérite admiration et partage.
GUY ROLAND
Bourgmestre de Quaregnon et Conseiller Provincial.
Toujours son âme riche et généreuse nourrit une oeuvre remarquable qui mérite admiration et partage.
GUY ROLAND
Bourgmestre de Quaregnon et Conseiller Provincial.
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