Pour les trente-cinq mille hommes de la force internationale (KFOR), c'est un échec cinglant, aggravé par le refus de l'Armée de libération du Kosovo (UCK) de restituer ses armes à la date prévue.
Voilà qui accentue les doutes sur les objectifs de cette guerre menée par l'OTAN et les critiques contre les manipulations médiatiques qui l'ont entourée.