10.2.09

A l'époque où jeune étudiant aux Beaux-Arts il s'essayait à l'art des esquisses, insatisfait de son oeuvre, il l'avait laissée inachevée dans la cour de son habitation, une forte pluie se mit à tomber.
Le lendemain, avec surprise, il aperçut son tableau oublié la veille tout transformé, tout illuminé dira-t-il, par la pluie qui joyeusement avait contribué, avec insolence, à le parachever.
C'était, dira Jean-Marie Rochez, presque beau.